Cette journée du 8 mars est reconnue depuis 1977, par l’ONU, journée internationale des droits des femmes ; il faudra bien des années de plus, pour que des pays comme la France les reconnaisse. Pourtant, la lutte avait commencé à la fin du 19ème siècle !Droits naturels, droit au travail, droit à un revenu égal toujours pas respecté, droit de vote, de propriété, de liberté de mouvement, à la sécurité, à l’éducation, droits liés à la reproduction, la liste est longue et non exhaustive. Le viol, le harcèlement sexuel et le viol au travail, dans les pires extrêmes du harcèlement sexuel, sont tellement difficiles à prouver que de très nombreuses victimes se taisent encore.
Naître femme, aujourd’hui encore, sur tous les continents, reste porter un karma très lourd.
La sphère judiciaire qui, dans de nombreux pays, est censée protéger les mères et les filles, dans le système toujours aussi masculiniste qu’avant, sépare, divorce ou marie de force, plonge les mères dans la misère économique, émotionnelle, dans l’abandon. Certes, on ne nous condamne plus à mort ni ne nous jette en prison pour avoir avorté, mais l’avortement forcé, par manipulation ou par violence, a remplacé cette ouverture de la loi.J’avais fait le constat, pour ma part, que les femmes de ma lignée, depuis de nombreuses générations, subissaient cette misère : oui, cette malédiction d’être nées femmes, alors que les hommes de ma famille s’en tirent tous parfaitement bien.
Alors, j’ai demandé la libération et l’absolution karmiques : pour ma fille et pour moi. Mais au terme de ce long travail, quelle ne fut pas notre joie de voir que toutes les autres femmes de ma famille voyaient la lumière et la prospérité revenir dans leur vie. Celle qui avait perdu son travail, retrouvait un emploi durable ; une autre, avait une fabuleuse promotion ; une autre encore était réunie définitivement à sa fille qu’on lui avait enlevée par divorce-forcé.
Un exorcisme karmique est une restauration souveraine des bénédictions que la misère, la guerre, les hommes, le système ou les envoûtements avaient anéantis. Pas seulement pour nous seule, mais pour toute notre lignée féminine.
Je peux vous accompagner dans ce processus si ce que je viens de vous dire résonne en vous. C’est ainsi que nous créons notre vraie vie de femme libre, pour nous, pour nos sœurs, pour nos mères et surtout pour nos filles.
Lux vincere tenebras
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